Unveil the curtain of uncertainty
Cast out the first born son
Consumed by the hate of ferocity
As my life remains undone
The path I dwell in was meant for me
Unable to change its course
I drown my sorrows in the wretched sea
Before the pain gets worst...
Losing what's left of such reveries
Extracting my final thoughts
Watching the world fall to travesty
Helpless I choke and breathe
Wanting to achieve total apathy
To avoid the shame of despondency
Cities crash and burn from atrocities
Nothing left for me but agony...
Walking through these empty streets
I feel the dread of all...
Where they once have stood in the past
Is now a haunting hall
The rain resumes the endless stream
And piercing through each stone
It burns my flesh and rots my soul
My wounds reopen and bleed
Each day I wake and die inside
From all the things I've seen
I let the tides take over me
In hopes I cease to be
Too late to cure my ignorance
As I watch our species fall
Wishing to save what's left from this
Before we're dead and gone...
Nothing left for me but tragedies
Nothing left for me but everlasting suffering...
I hear their voices and all the anguish they feel
But it's too late for them to come alive
It's useless to try and fix the rest
All this time I believe that hope would shine
Yet I make the ruins as the void consumes my soul
And the silence remains eternally...
supported by 16 fans who also own “Dwell In The Insanity”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
supported by 14 fans who also own “Dwell In The Insanity”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
supported by 13 fans who also own “Dwell In The Insanity”
La traversée du désert n'aura pas duré quarante jours mais quatre longues années...
Avec Панихида, Батюшка renaît enfin de ses cendres et, bien que désormais seul (ou plus exactement entouré de deux chanteurs), Христофор accomplit un miracle. Il s'inscrit dans la continuité de Литоургиiа avec un black metal orthodoxe qui nous convie ici à une cérémonie dédiée aux morts. Sa vision est englobante : les mélodies, la gravité et le silence font toucher le paradis ; l'agressivité est luciférienne. Jordan Vauvert
supported by 12 fans who also own “Dwell In The Insanity”
Après un Through Twilight... passable, Mort crée Descending Further into Nothingness sous le patronyme d'Exiled from Light, un album de DSBM lancinant aux atmosphères spectrales bien meilleur. Malgré tout, le démon de la stagnation continue de le harceler : la batterie est le grand point fort mais certains schémas se répètent et, couplés aux riffs minimalistes, ils empêchent certaines pistes de se distinguer l'une de l'autre. Le début est un peu long mais cet album en vaut vraiment la peine ! Jordan Vauvert