1. |
Ils flottent tous en bas
01:50
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2. |
J'y étais...
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Après tout ce temps rien n'a changé,
Chevilles enchaînées, chaînes serrées
Alors que mon cadavre est traîné à travers cette lumière impitoyable,
M'étouffe plus fort...
La lumière est partout
Peu importe Ô combien j'essaie de l'éviter
C'est plus sûr dans les abysses
S'il te plaît ne le laisse pas me trouver...
J'y étais...
Lorsque la couronne a été élevée
Toutes les prières sont venues à moi
Car la causalité est inévitable
Incline-toi devant ton nouveau martyr
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3. |
Hollow
07:10
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That morning...when I lost you...
Never thought I'd make it through
This life that I once knew...
Never to be continued...
We were in this life together
It was Supposed to be forever
Will I ever See you again
Or are we alone in the end.
The Mourning..I cannot erase..
Stuck in this time and place
Our world has been Disgraced
Nothing but an empty space
In a Dark and shallow passage
Smudge my face with your burned ashes
Black holes have swallowed the sun
Leaves me hollow..cold and broken..
This agony is deafening
My silent screams make me bleed
Embracing this cold winter ground
Brings me closer...
This agony is deafening
My silent screams make me bleed
Your urn pressed against my ribcage
Brings me closer...
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4. |
Je sais ce que j'ai vu
04:51
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Je sais ce que j'ai vu
Comme une ombre qui Depuis ma naissance me regardait dormir
Mais que personne ne pouvait deviner
Cette nuit quand tu es entré dans la chambre
J'étais consumé par la peur
De ce sourire tordu...
Je sais ce que j'ai vu
La lumière au réveil, révèle ma peau,
Comme j'aimerais pouvoir étouffer le soleil
Ma peau fond et s'enfuit de mes os
Je sais ce que j'ai vu
Tu rejettes mes paroles
Et dis que c'est dans ma tête
Peut-être ne me crois tu pas,
Mais je sais ce que j'ai vu...
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5. |
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Je te pensais mon tout,
Je te pensais l'unique,
Mais je suis toujours
Par le sournois masque de la vie
Je tombe encore dans son piège,
Je croule encore sous ses mensonges
Et maintenant que tu t'en vas,
Je te supplie de rester
Ce qu'on avait été spécial,
Qu'en est-il aujourd'hui?
Je sens mon souffle s'alourdir,
Alors que je suis écorché à vif,
A genoux, je te supplie de rester et ne pas partir
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.
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6. |
Non ducor,duco
04:59
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Upon the throne I gaze into this land of misfortune
Within these inferno landscapes
Every living vessel forever dwells
But every monarch has it's era
I am never intact..
At any moment the paradigm will shift
But the query remains
Will it happen during my slumber?
Or will I become another stone?
Every ruler has their moment of protest.
Enslaved by uncertainty
Nothing can be trusted
Executions become frequent
But it will not halt causality
I will be left standing...
Through the river of tears
The call to action will occur
I will be the first to defy the tides
There will be bloodshed...
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7. |
Mon cadeau au monde
05:41
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Entre donc,
Si tu l'oses
Affronte moi,
Je te mets à l'épreuve
Je règne en cette ère mais tu ne te soumets pas
Un choix que tu as fait en conséquence
As-tu la moindre idée de ce dont je suis capable?
Ta chair sera le festin parfait
Puissent les miséreux se repaître ce soir comme des rois
mon cadeau au monde...
Il n'y a personne avant,
Il n'y a personne après,
Je relève les défis
Il n'y a point de peur sans le sang
Avant que tu ne meurs je veux que tu penses
A chaque repas que tu as consommé
A chaque pierre que tu as projeté
Et chaque village que tu as ravagé
Quand à genoux tu es
Je peux goûter tes larmes
Puisse ta ruine psychique provoquer ma luxure
Car je suis l'absolu
Te présenter ici fut ta plus grave erreur.
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8. |
Mors vincit omnia
05:25
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This is what you wanted
The very entity that you pushed for
All those years of abuse and torment
Your hard work paid off
Consider this your gift to the masses
Punishment for the truly saved
Thank your creator for inventing it
Deep within these miserable halls
Nothing can ever grow
And with every life Ive taken
Nothing has survived
I was chosen to reign from within
You have my blessing to drown in guilt
Thank your creator for inventing it
Offerings will never be enough
This is what you wanted all along
Now be a good believer and feed me your flesh
I remember every stone thats been thrown
Every sound of each whip
Every bone that you have broken
Every flesh that has been seered
And all the suffering you allowed to happen here
Dont you dare repent now
You could have stopped it..
veni vidi vici...
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9. |
Forgive me
04:15
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I want to say Im sorry
For what Im about to do..
If you only knew why
You would understand
You were there from the beginning
And the one who endured all of my ruthless tyranny
The only one who protected me
Many have tried to overthow their ruler
You will hate me
And call for my severed head
When you see the ones you love burn to ashes
Hell itself will be breached by you at an attempt to dethrone me
So as you storm my chambers with vengeance
I want to say im sorry for whats to come to you and all of the families who fought for you
Forgive me...
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10. |
En enfer, J'ai régné
06:48
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Te souviens-tu de moi ?
J'étais là lorsque tu es tombé à genoux.
J'étais là lorsque tu observais ton royaume se consumer.
brûlant chaque trace de ta présence
Ne t'inquiète pas... je t'aime toujours.
Tes larmes sont tombées telles les comètes d'un ciel ensanglanté.
Et comme une étoile mourante tu t'es anéanti.
Les édifices s'effondrent et les monuments se brisent
Tandis que le peuple ardent se change en pierre.
C'était magnifique...
Et comme les vers tu as dévoré des vies entières
Et maintenant, tout ce qui reste est ton esprit brisé et les cendres de ton trône.
Tu le mérites...
Que vas-tu faire?
Où iras-tu maintenant que tu es tombé de la plus haute tour
Et dans la couronne de ronces?
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11. |
Life goes on...
06:03
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We scatter the ashes of those we once knew
Of the horrid times that we have endured
And we surround ourselves with angels and gods
To ensure the hope of humanity...
We live in a society
Where no one cares about you
Substances they live and lie for
To ensure the end of humanity
Currencies they kill and die for
To deny the truth of humanity
We decline... everything burns
From tragedies we experience
and we drown ourselves with visions
dont forget the bleeding conscious
And protect the lie we live in
Life goes on...
But one thing is certain
Nothing hurts more than being alive...
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Happy Days
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supported by 9 fans who also own “En enfer, J'ai Régné.”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable...
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supported by 8 fans who also own “En enfer, J'ai Régné.”
How can music so dark and so bleak be so beautiful. I don't know and I don't want to know. I'm just grateful G.B. creates it
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There is no beauty left here...
by Exiled From Light
supported by 8 fans who also own “En enfer, J'ai Régné.”
De l'action de descendre sciemment vers le néant au constat simple, lancé dans un dernier soupir, comme si on était mis devant le fait accompli : There is no beauty left here... Mais contre toute attente, ce chant du cygne d'Exiled from Light n'est pas une acceptation résignée de la mort. Mort (je parle de l'artiste) est animé de l'énergie du désespoir, cette énergie qui fait accomplir des choses extraordinaires quand tout est perdu et ça rend son DSBM très beau, paradoxalement. Indispensable !!
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Vicious funeral doom from Portugal, “Ossadas” hammers away like a rain of comets, fiery & relentless.
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Joseph Hawker subverts the musical and sociopolitical status quo with a black metal triptych that's as incendiary as it is impressionistic.
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featured on Bandcamp Radio Sep 29, 2022
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Life has gone on long enough
by NONE
supported by 8 fans who also own “En enfer, J'ai Régné.”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs...
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