supported by 16 fans who also own “Freedom Of Silence”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
supported by 14 fans who also own “Freedom Of Silence”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
supported by 13 fans who also own “Freedom Of Silence”
La traversée du désert n'aura pas duré quarante jours mais quatre longues années...
Avec Панихида, Батюшка renaît enfin de ses cendres et, bien que désormais seul (ou plus exactement entouré de deux chanteurs), Христофор accomplit un miracle. Il s'inscrit dans la continuité de Литоургиiа avec un black metal orthodoxe qui nous convie ici à une cérémonie dédiée aux morts. Sa vision est englobante : les mélodies, la gravité et le silence font toucher le paradis ; l'agressivité est luciférienne. Jordan Vauvert
The metal’s band revelatory new record crosses genres and styles, effortlessly combining seemingly incompatible subgenres. Bandcamp Album of the Day Apr 26, 2024
supported by 12 fans who also own “Freedom Of Silence”
While this album might not be anything particularly mind-blowing, it's still a good example of how DSBM should be done. I have a soft spot for this album as its seductive gloominess helped me through a certain rough patch in my life, and I believe it to be somewhat of a hidden gem. Rest in peace, Reverend John Hex. Irritum